
Cette formation a pour but de « donner aux parajuristes des outils pour pouvoir mener des activités de sensibilisation contre les violations des droits humains notamment les violences sexuelles », selon le formateur Ludovic Rosnert. A en croire ce consultant et juriste de formation, il est aussi question pour cet atelier de former les bénéficiaires sur les techniques d’animation et de communication afin qu’ils puissent jouer convenablement leur rôle d’agent de sensibilisation.
Pour Gnagna Diallo de la brigade de dénonciation de Kolda, cette formation a une importance capitale puisqu’elle va permettre d’éclairer la lanterne des participants sur les faits de: « viol, d’harcèlement sexuel, de pédophilie, d’inceste, d’attentat à la pudeur » pour ne citer que ces maux commis à l’endroit des femmes. A cela il faudrait ajouter ce que prévoit la loi pour punir les auteurs de violences.
Toutes choses qui de l’avis de Madame Diallo vont désormais faciliter le travail de terrain à ces parajuristes qui doivent encourager partout la dénonciation afin de protéger davantage les populations notamment les filles et les femmes rurales contre les VBG en Casamance.
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