Il est facile de critiquer et de pointer du doigt sans analyser les faits ou proposer des solutions concrètes. Depuis son arrivée, le ministre Abdourahmane Diouf a hérité d’un secteur fragilisé par des années de gestion chaotique. Plutôt que de s’apitoyer, il s’est attelé à remettre de l’ordre dans un système en crise.
Quelques vérités à rappeler :
1. Les retards de bourses ?
Un problème ancien qui ne date pas d’hier. Le ministre travaille à assainir les mécanismes pour garantir des délais respectés à l’avenir.
2. Les fermetures d’universités ?
Fermetures nécessaires pour répondre aux urgences infrastructurelles et sécuritaires, avec des solutions en préparation. Ce n’est pas en laissant tout s’effondrer que nous avancerons !
3. L’eau à l’UGB et ailleurs ?
Des problèmes techniques en cours de traitement avec les partenaires compétents. Mais soyons sérieux, est-ce un problème créé par l’actuelle équipe ?
Assez de désinformation !
Le travail est colossal, et il ne peut être abattu en quelques mois. La critique est légitime, mais elle doit être constructive et basée sur des faits réels. Attaquer pour attaquer ne fait que ralentir les solutions dont nos étudiants ont tant besoin.
Ceux qui crient aujourd’hui sont souvent les mêmes qui n’ont rien fait hier. Le ministre Abdourahmane Diouf reste concentré sur une mission : refaire de l’enseignement supérieur un moteur d’excellence et d’avenir pour notre jeunesse.
Jules Séne
